Comment être un bon perfectionniste ou la voie du juste milieu…
Comment être un bon perfectionniste est une question légitime à l’heure où les médias (journaux, télé, internet) nous poussent tous à être le meilleur, où la société vit à l’heure de l’individualisme…. où le chômage est un vrai fléau…
Il ne s’agit pas de baisser notre garde ou de ne plus avoir d’idéal. Et il n’est pas question non plus de se laisser aller.
Mais entre les deux, il y a ce juste milieu : savoir quand être perfectionniste
Comment ne pas placer la barre trop haut.
Afin de ne pas se faire souffrir, l’idée est d’avoir des objectifs mais de ne pas souffrir d’être perfectionniste à outrance.
Il y a des moments où viser la lune est totalement possible. Par exemple, si l’on est neurochirurgien et que l’on opère un cerveau… ou plus simplement s’il s’agit de faire notre maximum pour obtenir le job de nos rêves.
Parfois, mettre cette barre très haut vaut le coup, et la quantité d’énergie que l’on investit pour passer de 80 % à 95 % nous sera rendue au centuple. Car c’est souvent ce petit 15 % qui fera toute la différence.
Et parfois, c’est tout le contraire… On doit commencer par baisser la barre si l’on veut se mettre en action et pouvoir ensuite la rehausser. Car la seule façon de se lancer dans quelque chose de nouveau est d’accepter de le faire peut-être maladroitement… C’est ça ou rien du tout, et se demander plus ne ferait que nous paralyser.
En conclusion, et comme toujours,
j’ai envie de vous inviter à être bienveillant avec vous-même.
L’idée n’est certainement pas d’être au top dans toutes les circonstances.
L’idée est de rester serein, de faire de son mieux, sans vouloir, dans toute situation, être à 100 %.